L'HOMOSEXUALITE
Voici typiquement un thème à propos duquel les jugements de l'opinion, de la passion, masquent la réalité objective des faits.
L'homosexualité est une vieille réalité. C'est un fait. C'est une vieille réalité contre-nature, c'est un autre fait tout aussi évident. On a peine à croire qu'il faille aujourd'hui en faire la démonstration.
Et pourtant l'opinion, plus que cela même, l'idéologie officielle qui est en train de devenir une pensée unique et obligatoire, a décidé de mettre sur le même plan de... de quoi, au juste ?, nous allons y revenir, l'homosexualité et l'hétérosexualité.
De quoi parle-t-on ? De la dignité des personnes ? Du respect que l'on doit à tout être humain quelle que soit son "orientation sexuelle" comme il est de bon ton de qualifier désormais l'attrait de chacun pour un(e) autre ?
Sur ce plan-là, sans doute, pourra-t-on mettre tout le monde d'accord : c'est un principe, une "valeur", commune au plus grand nombre, sinon à tous.
Rien n'est plus odieux que la haine de l'autre en raison de ce qu'il est ; c'est bien assez de détester à l'occasion ce qu'il fait en prenant le risque ainsi, aussi, de condamner l'auteur en même temps que son acte.
Précisément, ceci étant posé, peut-on placer sur le même plan homosexualité et hétérosexualité ? Evidemment non. Ni sur un plan physiologique ni sur un plan sociologique.
Comme le rappelait un jour avec humour un sexologue, il y a deux catégories d'êtres humains : les uns avec des sexes en pointe, les autres avec des sexes en creux ; il y a quelques bonnes raisons de penser que ce soit dans un but de complémentarité.
Peuple-t-on une nation avec des homosexuels ou des hétérosexuels ? De quelle "orientation sexuelle" dépend la survie de l'humanité ?
Dès lors, quel est le devoir du Souverain ? Il est de protéger, d'encourager, de défendre, de reconnaître comme modèle bienfaisant dans l'ordre de l'organisation de la Cité, l'union des hommes et des femmes. Ce n'est pas un choix dogmatique, ce n'est pas le fruit d'une opinion, ce n'est que la conséquence pratique d'une sage politique consistant à se conformer aux réalités concrètes, vivantes, naturelles. Voici de la bonne écologie et, certainement, du "développement durable" ! "On ne commande à la nature qu'en lui obéissant." (Bacon)
Une telle politique constitue-t-elle pour autant une insulte à la dignité personnelle de chaque homosexuel(le) ? En aucun cas, comme l'ont d'ailleurs parfaitement compris des générations d'homosexuels, et encore de nos jours, auxquels l'activisme bruyant de lobbies qui prétendent les représenter, fait honte, à eux qui ne demandent pas mieux que de vivre dans la discrétion leur "différence" dont ils considèrent, avec raison, qu'elle ne leur décerne aucun droit pour je ne sais quel traitement "égalitaire" qui devient immanquablement un traitement de faveur, car ils savent que leur "différence" n'est pas, en soi, un bien en terme d'intérêt général.
Comme je l'écrivais dans une précédente chronique (Cf. IL FAUT ADAPTER LES LOIS A L'EVOLUTION DES MOEURS, blog du 21.11.06), dans ce domaine comme dans d'autres : "moeurs libres de chacun et loi régalienne pour tous."
Quant à savoir ce qui dans l'homosexualité relève de l'inné et de l'acquis, peu importe. Notons en passant, c'est piquant, que les mêmes qui se sont insurgés contre les propos du nouveau président de la République sur le caractère inné de certaines tendances délinquantes, en tiendraient volontiers pour cette thèse en matière de sexualité. Une manière de combattre l'idée inacceptable à leurs yeux, de "déviance". Leur doctrine n'est pas démontrée, bien au contraire. Elle n'est pas infirmée, en revanche, la théorie selon laquelle l'homosexuel(le) est une personne qui a "raté" une marche dans son évolution personnelle dans l'enfance ou l'adolescence, éventuellement sous l'action d'une influence extérieure. Et il semble bien que l'on puisse "revenir" de son homosexualité. Ce serait le cas, me dit-on, d'Amélie Mauresmo pour prendre l'exemple récent d'une célébrité. (On notera que la bonne presse, qui ne tarissait pas d'éloges envers la joueuse de tennis à l'époque où elle eut, n'est -ce pas, le "courage" tout simplement "admirable", d"avouer", bien sûr "sans tabou", son homosexualité, voire de l'afficher, se fit discrète suite à la découverte du charme masculin par icelle, découverte peut-être coupable en tout cas médiatiquement moins excitante).
L'homosexuel(le) a droit au respect de chacun. Mais c'est le devoir de tous de tenir l'homosexualité pour ce qu'elle est : une affaire strictement privée et qui doit le rester.
L'homosexualité est une vieille réalité. C'est un fait. C'est une vieille réalité contre-nature, c'est un autre fait tout aussi évident. On a peine à croire qu'il faille aujourd'hui en faire la démonstration.
Et pourtant l'opinion, plus que cela même, l'idéologie officielle qui est en train de devenir une pensée unique et obligatoire, a décidé de mettre sur le même plan de... de quoi, au juste ?, nous allons y revenir, l'homosexualité et l'hétérosexualité.
De quoi parle-t-on ? De la dignité des personnes ? Du respect que l'on doit à tout être humain quelle que soit son "orientation sexuelle" comme il est de bon ton de qualifier désormais l'attrait de chacun pour un(e) autre ?
Sur ce plan-là, sans doute, pourra-t-on mettre tout le monde d'accord : c'est un principe, une "valeur", commune au plus grand nombre, sinon à tous.
Rien n'est plus odieux que la haine de l'autre en raison de ce qu'il est ; c'est bien assez de détester à l'occasion ce qu'il fait en prenant le risque ainsi, aussi, de condamner l'auteur en même temps que son acte.
Précisément, ceci étant posé, peut-on placer sur le même plan homosexualité et hétérosexualité ? Evidemment non. Ni sur un plan physiologique ni sur un plan sociologique.
Comme le rappelait un jour avec humour un sexologue, il y a deux catégories d'êtres humains : les uns avec des sexes en pointe, les autres avec des sexes en creux ; il y a quelques bonnes raisons de penser que ce soit dans un but de complémentarité.
Peuple-t-on une nation avec des homosexuels ou des hétérosexuels ? De quelle "orientation sexuelle" dépend la survie de l'humanité ?
Dès lors, quel est le devoir du Souverain ? Il est de protéger, d'encourager, de défendre, de reconnaître comme modèle bienfaisant dans l'ordre de l'organisation de la Cité, l'union des hommes et des femmes. Ce n'est pas un choix dogmatique, ce n'est pas le fruit d'une opinion, ce n'est que la conséquence pratique d'une sage politique consistant à se conformer aux réalités concrètes, vivantes, naturelles. Voici de la bonne écologie et, certainement, du "développement durable" ! "On ne commande à la nature qu'en lui obéissant." (Bacon)
Une telle politique constitue-t-elle pour autant une insulte à la dignité personnelle de chaque homosexuel(le) ? En aucun cas, comme l'ont d'ailleurs parfaitement compris des générations d'homosexuels, et encore de nos jours, auxquels l'activisme bruyant de lobbies qui prétendent les représenter, fait honte, à eux qui ne demandent pas mieux que de vivre dans la discrétion leur "différence" dont ils considèrent, avec raison, qu'elle ne leur décerne aucun droit pour je ne sais quel traitement "égalitaire" qui devient immanquablement un traitement de faveur, car ils savent que leur "différence" n'est pas, en soi, un bien en terme d'intérêt général.
Comme je l'écrivais dans une précédente chronique (Cf. IL FAUT ADAPTER LES LOIS A L'EVOLUTION DES MOEURS, blog du 21.11.06), dans ce domaine comme dans d'autres : "moeurs libres de chacun et loi régalienne pour tous."
Quant à savoir ce qui dans l'homosexualité relève de l'inné et de l'acquis, peu importe. Notons en passant, c'est piquant, que les mêmes qui se sont insurgés contre les propos du nouveau président de la République sur le caractère inné de certaines tendances délinquantes, en tiendraient volontiers pour cette thèse en matière de sexualité. Une manière de combattre l'idée inacceptable à leurs yeux, de "déviance". Leur doctrine n'est pas démontrée, bien au contraire. Elle n'est pas infirmée, en revanche, la théorie selon laquelle l'homosexuel(le) est une personne qui a "raté" une marche dans son évolution personnelle dans l'enfance ou l'adolescence, éventuellement sous l'action d'une influence extérieure. Et il semble bien que l'on puisse "revenir" de son homosexualité. Ce serait le cas, me dit-on, d'Amélie Mauresmo pour prendre l'exemple récent d'une célébrité. (On notera que la bonne presse, qui ne tarissait pas d'éloges envers la joueuse de tennis à l'époque où elle eut, n'est -ce pas, le "courage" tout simplement "admirable", d"avouer", bien sûr "sans tabou", son homosexualité, voire de l'afficher, se fit discrète suite à la découverte du charme masculin par icelle, découverte peut-être coupable en tout cas médiatiquement moins excitante).
L'homosexuel(le) a droit au respect de chacun. Mais c'est le devoir de tous de tenir l'homosexualité pour ce qu'elle est : une affaire strictement privée et qui doit le rester.